La première fois avec Larry

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il y a 4 ans

Une très belle histoire d’amour avec un homme

Quand j'ai rencontré Larry, j'avais 18 ans. Lui aussi. Et je ne pensais pas que 10 ans après, nous serions encore ensemble. Je suis le plus heureux des hommes depuis. Il faut dire que mon mec est un véritable canon, grand, mince, d'immenses yeux verts émeraude légèrement en amendes, des cheveux châtains foncés en désordre, une bouche pulpeuse, sensuelle, joliment dessinée, des mains longues, fines et douces, un corps d'apollon. Et un cul ! Un cul de classe international, rond, ferme, serré, chaud, et profond, tellement profond. UN VERITABLE APPEL AU v i o l !

D'ailleurs j'ai tout le temps envie de lui. Nous faisons l'amour plusieurs fois par jour, tous les jours, et je ne m'en lasse pas.

Je suis hétéro. Je le suis encore, même si je n'ai pas baisé une femme depuis que j'ai rencontré Larry. Ce que je veux dire, c'est que je ne suis pas attiré par les mecs. Je ne sais pas pourquoi, ni comment je suis tombé amoureux de mon homme, mais je n'aime que lui. A la folie. Irrémédiablement. Et je sais que lui aussi m'aime à en mourir : il me le prouve tous les jours.

Je n'oublierai jamais notre "première fois".

Nous étions au lycée, on ne se fréquentait pas lui et moi. Nous avions chacun notre groupe d'amis. Il était déjà très beau, et les filles se pâmaient en le regardant.

Nous avons appris officiellement qu'il était gay un jour au réfectoire, quand une de mes copines était allée le voir à sa table pour un plan avec une autre qui n'osait pas le lui dire elle-même. Il lui a alors répondu "c'est plutôt le frère de ta copine qui m'intéresse". Nous le savions plus ou moins, car il ne se cachait pas, mais il ne nous le jetait pas à la figure non plus.

Personne n'avait fait de commentaire, mais depuis ce jour là, je n'ai pas cessé de penser à lui. Il occupa de plus en plus mon esprit, son image apparaissant au beau milieu d'une réflexion de math ou de français. Quand j'embrassais ma copine, c'est son visage que je voyais. Je mourais d'envie de le toucher, le caresser, le serrer contre moi. Je me réveillais la nuit couvert de sperme la tête rempli des rêves qu'il m'avait inspirés. Je me mis à le surveiller, épiant ses moindres faits et gestes. Quand je le voyais avec un autre mec, ça me rendait fou de rage, de jalousie, de douleur.

C'était à n'y rien comprendre, je sortais avec la plus jolie fille du lycée, j'aimais les filles, et pourtant j'étais fou amoureux de Larry.

Un jour, n'y tenant plus, je décidai d'aller faire du vélo dans son quartier. je connaissais ses habitudes, j'espérais le trouver devant chez lui et engager la conversation, l'air de rien.

Malheureusement, quand j'arrivai il n'était pas seul. il était assis sur les marches devant la maison avec sa meilleure amie. Déçu, je continuai ma route. je roulai encore trois bon kilomètres, puis fis demi tour en repassant par son quartier. Tant pis, je ne lui parlerais pas mais au moins je pourrais voir son visage. J'en avais besoin.

Quand j'arrivai aux abords de la maison, il était toujours assis sur les marches, mais tout seul. J'en fus tellement surpris, persuadé que sa copine serait encore là, que je m'arrêtai net.

Larry se leva d'un bond et me rejoignit. Dieu qu'il était beau.

"Je savais que tu repasserais".

Pris au dépourvu et le regardai les yeux ronds, la bouche ouverte.

"Ne joue pas l'étonné, ça fait des mois que tu m'espionnes. Je t'ai vu, tu sais, tu n'as pas arrêté de roder dans le coin en regardant la maison".

Je rougis v i o l emment.

"Tu as perdu ta langue en chemin ? Je ne savais pas que le vélo faisait cet effet là. Je n'en ferai plus à partir d'aujourd'hui, dans ce cas."

Il souriait, ses beaux yeux verts pétillants de malice. Je le regardais éperdu. J'étais incapable de répondre. Putain, je devais avoir l'air d'un débile.

"Viens boire quelque chose, peut-être que tu retrouveras la parole après t'être désaltéré. Mes parents ne sont pas là, allez viens".

Il se dirigea vers la maison. La vache, il m'avait invité à entrer. J'étais à la fois fou de joie et terrifié. je le suivi.

Et puis je ne sais pas pourquoi, une fois dans l'entrée, je l'ai pris dans mes bras et j'ai plaqué mes lèvres contre les siennes. J'ai glissé ma langue entre ses lèvres et j'ai littéralement v i o l é sa bouche, enroulant ma langue autour de la sienne, chatouillant sa gorge, goutant sa salive sans en perdre une goutte. Dieu que c'était bon. Ce goût sucré et sauvage à la fois.

Je mordillai ses lèvres pulpeuses et replongeai ma langue dans sa bouche, jusque dans sa gorge. Je l'embrassais à pleine bouche, le serrant contre moi, le dévorant presque.

Je relâchai sa bouche sans desserrer mon étreinte. Je ne pouvais pas me détacher de lui.

" Merci de me laisser respirer un peu ". Il me souriait, semblant surprit mais content. " Tu as retrouvé ta langue, vu comme elle fouillait ma bouche ".

J'enfouis mon visage dans ses cheveux, dans son cou, respirant son odeur grisante. Il sentait bon.

" Pourquoi tu fais ça ? " me demanda t-il un peu inquiet.

" Quoi donc ? " murmurai je en mordillant ses lèvres. Sa bouche me rendait fou. Une bosse commençait à se former dans mon pantalon.

" Pourquoi tu fais ça, Chris ? ". Je le regardai surpris. Il semblait à présent perdu et cherchait à s'échapper de mes bras.

Mon Dieu qu'est ce que j'avais fait ? J'étais allé trop vite, j'avais trop précipité les choses. Et si... et si je n'étais pas son genre ? Je ne m'étais jamais posé la question de savoir si je lui plairais ou pas. Putain, c'est ça, il ne voulait pas de moi ! Cette idée m'anéanti presque. Je le lâchai brusquement. Ses bras me manquèrent aussitôt.

" Pourquoi ? "

" Je... j'aimerais... je veux... " Je m'arrêtai, ne trouvant pas mes mots, paralysé par la peur.

" Quoi, qu'est ce que tu veux ? Tu voulais faire une expérience en embrassant un pédé ? C'est fait ".

" Non... je veux... je veux... "

" Tu veux quoi, Chris ? Baiser avec moi ? Je ne comprends pas ce que tu cherches, tu veux te faire mousser auprès de tes potes, c'est ça ? Vous avez parié à celui qui se fera une pédale pour voir ? C'est ça ?"

" Non... "

" Alors qu'est que tu veux putain ? Tu es hétéro, je le sais et je le sens, alors qu'est-ce que tu attends de moi ? "

Il semblait fâché à présent.

" C'est toi que veux ! Je veux être avec toi... je veux sortir avec toi... je veux...que tu sois mon p'tit ami ". J'avais crié ça comme un désespéré. Larry me regardait bouche bée, incrédule. Dieu qu'il était beau. Ses lèvres entrouvertes tremblaient légèrement, ses narines frémissaient.

Je le pris de nouveau dans mes bras.

" Je suis fou de toi ". Ma voix n'était plus qu'un souffle. J'attrapai ses lèvres, l'embrassant fougueusement. Je suçais sa langue, ses lèvres, je m'enfonçais profond dans sa bouche. Mon Dieu que c'était bon. Je ne pourrai plus jamais me passer de cette bouche gourmande.

Je réalisai soudain qu'il répondait à mon baiser, se serrant contre moi. Cela décupla mon plaisir. Je bandais comme un âne, maintenant.

Je senti sa main sous ma chemise. Sa main douce et chaude déclencha des frissons dans tout mon corps. Ses doigts courraient sur ma peau, descendaient le long de ma colonne vertébrale, provoquant des sensations incroyables.

Je relevai son t-shirt et posai ma main droite à plat sur sa poitrine. Je la fis glissai doucement jusqu'à sentir son téton, que je pinçai délicatement. Larry gémit de plaisir.

Je lâchai sa bouche et posai mes lèvres sur le téton durci, extrêmement développé, le titillai du bout de la langue, le mordillai un peu, puis l'attrapai à pleine bouche, le suçant goulument. Ses gémissements se firent plus intenses. Il aimait donc mes caresses !

De l'autre main je pinçai l'autre téton, l'étirai, le malaxai, le fit rouler entre mes doigts. Larry s'agrippait à moi, gémissant de plus en plus fort, et je sentais la bosse qui s'était formée dans son jeans. Je lui faisais de l'effet ! Il bandait pour moi.

Relevant la tête, je regardai son visage et restai soufflé : le plaisir le rendait encore plus beau, ses lèvres entrouvertes étaient rouges, gonflées, ses yeux brillants de plaisir.

Je glissai ma main dans la ceinture de son jeans, mes yeux toujours rivés aux siens. Il ne portait rien dessous. Je sentis ses fesses fermes et bien rondes, soyeuses. Dégrafant un bouton pour être plus à l'aise, j'attrapai ses fesses à deux mains, les pressant, les palpant, les écartant, puis les resserrant.

Larry s'écarta brusquement de moi.

"Viens" dit il en partant vers l'escalier. Je le rattrapai et l'enlaçai par derrière pour monter. Je ne pouvais rester une seconde loin de lui. J'avais tout le temps besoin de sa chaleur, de son corps.

Sitôt la porte de la chambre refermée, je pris de nouveau sa bouche. J'étais affamé de cette bouche, j'en aimais le gout, la texture, la douceur, la chaleur. Je ne pouvais plus m'en passer.

Tout en l'embrassant, je fis glisser le jeans sur ses chevilles. Caressant ses fesses, ma langue toujours dans sa bouche, je pris sa queue dans ma main. Elle était assez grosse. Je senti le gland soyeux, la hampe à la peau fine et douce, légèrement veinée. Je descendis jusqu'aux testicules lisses et doux. Il était totalement épilé, je ne sentais aucun poil.

Je reculai un peu pour l'admirer. Putain, ce mec était une vraie merveille ! Son corps mince était harmonieusement dessiné, les muscles discrets mais bien présents, les pecs ronds, les jambes fuselées, délicatement galbées. Un filet de mouille coulait de sa bite de bonne taille, arquée vers la droite, circoncise. Et son cul ! Un beau et merveilleux cul rond, ferme, suffisamment haut perché pour affoler les sens. Larry était tout simplement magnifique !

Je me sentis tout à coup très à l'étroit dans mon pantalon que j'envoyai valser, avec la chemise, les baskets et les chaussettes.

J'allongeai Larry sur le ventre. Je voulais gouter son petit trou. Je n'avais jamais fais ça avant, mais je savais que je voulais y gouter. J'écartai délicatement ses deux globes parfaits et découvris un magnifique oeillet rose et serré. Sans attendre j'y enfouis le nez, la bouche et commençai à lécher, sucer, aspirer. Larry gémissait de plaisir, se tortillait, soulevait son cul pour me faciliter l'accès à son trésor. Je glissai ma langue dans sa rondelle qui commençait à se détendre. Quel délice ! J'adorais le gout de son cul.

Je le retournai sur le dos. Il tremblait de désir. J'étais tellement excité que ma queue dure comme une barre de fer commençait à me faire mal. Mais je voulais attendre. jevoulais gouter sa bite.

Je n'avais jamais sucé un mec, mais je savais ce que j'aimais, et je me dis que lui aussi aimerait ça. J'avalai d'un coup sa queue, remontant doucement jusqu'au gland que je titillai avec ma langue, puis j'avalai de nouveau le tout. Larry souleva son bassin et se mit à faire des mouvements de va et vient, me baisant littéralement la gorge. La vache, je suçais un mec et j'aimais ça. Je suçais Larry. Je le suçais goulument et j'aimais ça. J'aimais le gout de sa queue, le gout de sa mouille, le gout de ses couilles.

Il gémit encore plus fort quand je lui glissai un doigt humide dans l'anus.

Je fis glisser un coussin sous ses fesses et remontai ses jambes. Il me tendit un tube de gel.

J'appuyai la pointe de ma queue à l'entrée de son trou humide et commençai à pousser lentement.

"Doucement, me dit il, ta queue est très grosse".

" Je te fais mal ? Tu veux que j'arrête ? Je ne voudrais pas..."

" Chut, prend moi..."

Je recommençai à pousser lentement. Je sentais sa rondelle tendue autour de ma queue, tellement serrée. J'avais peur de le déchirer, mais je ne pouvais pas m'arrêter. J'étais fou de désir. J'avais déjà sodomisé des filles, mais là, ça n'avais rien à voir. C'était le paradis. C'était tellement chaud, serré et profond. Je m'enfonçai jusqu'à la garde. Larry haletait, les jambes sur mes épaules, le cul tendu vers moi, me recevant entièrement. Je commençai à le limer doucement, puis de plus en plus vite, de plus en plus fort. Putain c'était bon ! 26 cm de long, 6 de large, et il les prenait en entier. J'étais de plus en plus excité, de plus en plus déchainé. je ramonait son cul à grands coups de boutoirs, lui arrachant des cris de plaisirs. je le défonçais littéralement et lui en redemandait. Je me penchai en avant pour prendre sa bouche tout en lui martelant le cul. J'étais tellement profond en lui que je sentais battre son coeur au bout de ma queue.

"Tu aimes, chéri ? Tu aimes que je te la mettes profond ?"

" Oh oui, oui... encore... plus fort... plus vite..."

"Tu veux ma queue ? "

"Oui... C'est boonn..."

"Si tu la veux, il faut la demander... demandes la, mon amour"

"Donne moi ta queue... je la veux... met la moi bien au fond... oui comme ça ... aahhhhhh !!"

"Tiens, chéri, prend... prend... elle est toute pour toi... prend"

Je sentais son trou se contracter sous mes coups de boutoir, ma queue cognait avec f o r c e au fond de son cul.

Je sorti de lui.

" Je veux voir ma queue rentrer en toi".

A quatre pattes, le cul en l'air, la tête dans l'oreiller, Larry m'offrit à nouveau son cul que je limai sans répit. Je voyais la rondelle rose vif, tendue à craquer, se contracter autour de ma bite, la serrant comme un étau. Je sorti pour regarder son trou béant, humide et palpitant. Cette vision m'excita à m o r t . Je m'enfonçai d'un coup jusqu'à la garde. J'étais carrément dans son ventre à présent. Je le labourai avec f o r c e , lui arrachant des cris de plaisir. Mon bassin claquait contre ses fesses, que j'écartais avec mes mains pour aller encore plus profond en lui.

"Je ne peux plus me retenir, je vais jouir Chris". Larry hurlait maintenant. Il n'avait pas débandé une seule fois, et le filet de mouille coulait à présent sur le lit.

"Vas-y, mon amour, jouis. Moi aussi je viens"

Larry poussa un cri étouffé par l'oreiller, et jouis à longs jets épais. Je ne pu me retenir moi non plus, et jouis à mon tour, lui remplissant son beau petit trou rose de foutre crémeux. Nous n'en finissions pas de jouir. Le trop plein déborda du cul de Larry et coula sur ses couilles, sur le lit. Lui, avait maculé les draps, répandant son jus partout, jusque sur l'oreiller.

Je m'allongeai sur lui, ma queue toujours fichée tout au fond de lui et lui embrasai les cheveux, le cou.

"Je t'aime, Larry, je t'aime comme un fou".

"Moi aussi je t'aime, Christophe. Depuis toujours"

lousol

Humm très belle histoire excitante
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